mardi 31 janvier 2012

Malia - My baby just cares for me

Neige...

Ces clichés ont été pris ce matin dans mon jardin. Rien de spectaculaire mais je note que les premiers flocons de neige sont arrivés, un peu tard mais quand même...


Crédit photos Baudouin N'G - Un peu de neige...Janvier 2012

lundi 30 janvier 2012

Miguel Angel Sánchez Alma del Mondo - Les révoltés du Caire : Exposition à l'Inception Gallery

Les portraits égyptiens de Miguel Angel Sánchez seront exposés à l'Inception Gallery, du 2 février au 25 février 2012...
L’artiste a regroupé 110 portraits de résidents du Caire qui ont tous de près ou de loin participé à ce qu’on appelle le Printemps Arabe.
Personnages de différents horizons socio-culturels : musicien, blogger, peintre, activiste politique, Ministre, épicier ou encore cireur de chaussures. Ce portrait de la ville au travers de ses habitants apparaît ainsi comme une véritable photographie de l’Histoire.

Crédit photo Miguel Angel Sánchez - Marina

Miguel Angel Sanchez cherche à capter les instants de vie des gens qu’il rencontre au fil de ses voyages et aime notamment photographier les gens de la rue, après avoir partagé un moment avec eux. Alors photographe publicitaire à Madrid, il décide il y a deux ans de s’installer au Caire où il commence un nouveau travail plus personnel dans son propre studio photo.
Il est né à Madrid en 1977. Diplômé en sculpture, et primé par la Communauté de Madrid pour son travail documentaire photographique.

Dans son travail, l’artiste se concentre essentiellement sur la lumière afin de recréer le clair-obscur, semblable aux peintures espagnoles et italiennes du 17ème siècle de Ribera ou du Caravage. De cette tradition ancestrale, il a repris les codes, il peut en effet passer plusieurs jours avant de finaliser une prise de vue. Cette longue durée du processus de création est un véritable choix de l’artiste car elle s’apparente à ce que pouvaient ressentir les peintres d’alors. On retrouve aussi dans ses images le contraste très net entre les parties sombres et les parties claires, ce qui permet d’augmenter la tension dramatique, et de donner davantage de relief au personnage. Il s’en dégage également une grande chaleur ainsi que cette sensation de proximité entre le personnage et le spectateur. Lire la suite ici

La Tribune...

Je pense à tous ceux qui, en plus de la tristesse de voir disparaître leur journal, vont perdre leur emploi et pense aussi à tous ceux qui traversent la même épreuve dans d’autres secteurs.
Adieu, mon autre journal que j'avais l'habitude de lire..



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Arrêter de fumer...

J'ai beaucoup d'amis fumeurs qui, malgré leur bonne volonté, n'arrivent pas à arrêter de fumer. Cet article de Sybille De Larocque sur JOL me paraît intéressant pour les aider à agir.

Patchs, gommes à mâcher, cigarettes à l’eucalyptus... l'arsenal anti-tabac ne fait qu'augmenter... et les fumeurs de continuer à fumer ! Le dernier espoir venait de la cigarette électronique. Mais une récente étude de l'Université de Harvard montre qu'une fois encore, ce nouveau substitut, comme les autres, n'est qu'une petite béquille utile au tout début, mais insuffisante pour la suite. Conclusion : seule la volonté aide durablement au sevrage tabagique...
Tous les 1er janvier, les fumeurs reprennent le même refrain et promettent à qui veut bien les entendre que cette fois, c’est sûr, c’était leur dernière cigarette.

Le 1er janvier 2012 n’a sans doute pas fait défaut et avec l’augmentation du prix des paquets de cigarettes, un grand nombre de fumeurs vont se lancer dans le défi qu’ils redoutent tous, arrêter de fumer. Lire la suite ici


Crédit photo © Lolita_c / cc

Lundi...

« Le bonheur est l'art de faire un bouquet avec les fleurs qui sont à notre portée. » [Anonyme]

Crédit photo Steven Bruce Design via Paradis express

dimanche 29 janvier 2012

Accepter d'être jugé...

Certains billets de mon blog produisent un effet impressionnant si j’en juge par les messages qui me parviennent par mail, par des appels téléphoniques amicaux, ou simplement par des discussions franches et en tête à tête avec ceux qui se sentent parfois concernés.
Que d'autres personnes préfèrent dire leur mécontentement par l'intermédiaire d'une tierce personne au lieu d'être direct, je suis navré de le dire, mais c’est leur problème !

J'ai dit sur un billet qu'on est toujours, soi-même, mauvais lecteur d’un article qui vous est consacré. Ou bien on est heureux au risque de flatter une trop sommaire satisfaction qui peut confiner à la vanité. Ou bien on en est malheureux et cela vous plonge dans mille ressentiments qui vous gâchent la journée et le moral.

Peu nombreux sont ceux qui savent s’accommoder de l’inévitable et nécessaire liberté de jugement, de ceux qui vous regardent faire, vous évaluent, vous jugent à travers ce qu’ils écrivent ou ce qu’ils disent.

Quand on s’expose publiquement par son action, cela suppose cependant qu’on accepte, à l’avance, d’être questionné, commenté et critiqué, même quand les appréciations qu’on vous applique vous paraissent inexactes et à plus forte raison injustes.

Parce que je me sens libre de mes jugements, de mes actions, de mes choix, je me suis accommodé bien volontiers de tout jugement même quand les digues qui protègent ma vie privée ont été rompues par ceux qui trouvent là un sujet à explorer et pour taper une petite causette. Il est vrai que, sur mon blog où je sais me montrer libre de paroles, je prends la liberté de parler aussi de moi. Ce qui est légitime car il s'agit là de mon journal de bord. Ainsi, je peux me regarder le matin dans le miroir sans rougir, mes détracteurs pourront-ils en faire autant ?

Selon l’INSEE, la France est peuplé de plus de 65 millions d'habitants. On compte aujourd’hui en France, environ un élu ou, pour être plus exact car il y a souvent cumul, un mandat électoral pour 108 habitants. Si la démocratie se mesurait à l’aune du nombre d’élus, notre pays serait un modèle universel !

Ces nombreux élus, de proximité ou pas, sont censés rendre des comptes pour les mandats dont ils ont été désignés (d'autant plus que beaucoup d'entre eux sont indemnisés). Chacun l’entendra comme il le voudra mais cela suppose qu'on accepte d'être jugé...

samedi 28 janvier 2012

Irma & Gad Elmaleh - Isn't she lovely

Satisfaction personnelle...

Journée de bricolage et de lecture. Le temps est pourri aujourd'hui. Je profite pour peindre mon escalier pour la dernière fois. C'est une activité fatigante mais gratifiante quand je vois le résultat. Cette satisfaction ne supprime pas l’usure, au mieux, elle l'allège, au pire elle le masque.

Après ce travail inhabituel pour moi, lecture du livre de Pierre Lemaitre, « Cadres noirs ». Rien à avoir avec le corps de cavaliers d'élite français, instructeurs à l'École nationale d'équitation près de Saumur en Maine-et-Loire, appelé aussi « Cadre Noir ». L’ouvrage décrit la vie d'un cadre de cinquante-sept ans anéanti par quatre années de chômage sans espoir. Je ne suis qu'au début de ma lecture et il me reste près de 300 pages à lire. Je vous en parlerai plus longuement à la fin de ma lecture.

Crevé, pour conclure heureusement cette journée, j’écoute le Canon de Pachelbel en dégustant un bon verre de vin rouge de Bourgogne.
J'ai bien compris qu'il ne faut pas boire plus de deux verres sinon on devient alcoolique...


Bon week-end...

« On ne peut montrer le chemin à celui qui ne sait où aller. » [Antoine de Saint-Exupéry]

Crédit photo This is glamorous

vendredi 27 janvier 2012

Les Guerres de Napoléon

Du 14 février au 13 mai 2012, le château de Versailles présente l'exposition Les Guerres de Napoléon. Louis François Lejeune, général et peintre dans les salles d'Afrique et de Crimée.

Tout à la fois soldat, espion, peintre, diplomate à ses heures, Louis François Lejeune (1775 - 1848) est un cas unique dans l’histoire de son temps : militaire, il participe à toutes les guerres de la Révolution et de l’Empire, avant d’atteindre le grade de général de brigade. Mais cela ne lui suffit pas : au fur et à mesure des combats, il représente les principales batailles dans une douzaine de peintures, puis décrit longuement les campagnes napoléoniennes dans ses Souvenirs.


L'exposition se propose de mettre en valeur cette personnalité haute en couleur. Elle présente à la fois ses dessins et ses tableaux, confrontés à ceux d’artistes de son temps, mais aussi des souvenirs personnels de sa vie militaire et de sa vie civile sous l’Empire, la Restauration et la monarchie de Juillet.

Six sections présentent l’élaboration des peintures de batailles, depuis l’observation du théâtre des opérations jusqu’à l’exposition aux Salons parisiens. A travers la vie et les œuvres de Louis François Lejeune, le visiteur découvre un récit des guerres de Napoléon. Lire aussi ici

jeudi 26 janvier 2012

Envie...

« Il faudrait bien que tu prennes du poids, tu nages dans ton pantalon ». C'est avec ces mots, un peu vexants, qu'une amie me parle pour m'inciter à grossir un peu. Donc, j'en profite pour satisfaire ma gourmandise.
Pour mon quatre heures, j'avais envie d'un gâteau comme celui-ci mais nos envies ne sont pas toujours satisfaites comme on voudrait. Alors, ça sera pour la prochaine fois, je l'espère. Vous ne le savez sûrement pas, je suis gourmand de...


Crédit photo This is glamorous - Gâteau rêvé !

Jatte à punch du service à fond bleu céleste de Louis XV pour le château de Versailles

Ma passion pour les arts décoratifs du XVIIIe siècle et l'intérêt particulier que je porte pour la porcelaine fabriquée par les prestigieuses manufactures dans le monde me poussent à vous faire part, par le biais de ce blog, de cette belle acquisition annoncée par Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication.
En effet, l'État vient d'acquérir pour le château de Versailles, une pièce reconnue œuvre d'intérêt patrimonial majeur, une jatte à punch du service à fond bleu céleste de Louis XV grâce au mécénat de KPMG.

Cette jatte à punch fait partie du grand service de table dit « à fond bleu céleste » exécuté pour Louis XV entre 1753 et 1755 à la Manufacture royale, alors installée dans l’enceinte du château de Vincennes. Il est composé de 1749 pièces de porcelaine tendre et porte un décor de fleurs et de fruits, inscrit dans des cartouches soulignés d’or. Le fond bleu céleste utilisé a été créé par le chimiste Hellot spécialement à l’occasion de cette commande. Une fois livré, ce service a été utilisé par la famille royale jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.

Crédit photo DR / Conservation du patrimoine château de Versailles - Jatte à punch du Service à fond bleu céleste de Louis XV de la Manufacture de Vincennes, 1753, marques peintes en bleu : marque aux deux L entrelacées, lettre date A pour 1753, porcelaine tendre, 12,6 (h) x 33,7 (diamètre) cm. Mécénat d’entreprise KPMG (OEuvre d’intérêt patrimonial majeur)

Exceptionnelle par son décor et par l’ampleur du service de table auquel elle appartient, cette jatte à punch l’est aussi par son excellent état de conservation et par son caractère nouveau au moment de sa commande : sa forme a été suscitée par l’engouement venu d’Angleterre pour une boisson nouvelle, le punch, servi à la fin du repas lors du service du dessert. Elle rejoint les sept pièces appartenant au même service déjà présentes au château de Versailles, dans la salle à manger dite aux porcelaines.
Cette acquisition a été rendue possible grâce au mécénat de KPMG. Lire aussi ici

Les Masques de jade mayas : Exposition à la Pinacothèque de Paris

Les Masques de jade mayas à la Pinacothèque de Paris, du 26 janvier 2012 au 10 juin 2012...
La Pinacothèque de Paris poursuit son exploration des cultures précolombiennes et mésoaméricaines. Après le succès de l’exposition L’Or des Incas : origines et mystères, la Pinacothèque de Paris présente la découverte archéologique la plus importante de la dernière décennie au Mexique : les masques en mosaïque de jade. Ces masques exceptionnels, entièrement restaurés par les plus éminents spécialistes en archéologie maya, représentent les visages de la divinité. Créés pour les gouverneurs les plus prestigieux des cités perdues mayas, ils avaient pour mission d’assurer la vie éternelle à ces hauts dignitaires après leur mort.

Crédit photo © Martirene Alcantara / INAH - Masque funéraire en mosaïque de jade et de chrysoprase

On a découvert à ce jour une quinzaine de masques qui sont présentés pour la plupart à la Pinacothèque de Paris. Cet ensemble rarissime, que le Mexique accepte exceptionnellement de porter hors de ses frontières, sera exposé aux côtés d’une centaine d’œuvres qui quittent le pays pour la première fois. La Pinacothèque propose ainsi une véritable plongée dans la cosmogonie sophistiquée et mystérieuse de cette culture millénaire.

Les masques de jade exposés ont été retrouvés dans les sépultures des élites mayas. Une partie des masques funéraires représente les visages individualisés des dirigeants mayas. C’est le cas de l’extraordinaire masque du roi Pakal qui fige pour l’éternité les traits du souverain. La lecture des œuvres est enrichie par une fructueuse mise en contexte : les masques sont en effet présentés avec le reste du trousseau funéraire qui comprend colliers, boucles d’oreilles, pectoral, bracelets, céramiques et autres offrandes. C’est la première fois, depuis leur exhumation et leur dispersion dans différents musées, que ces œuvres sont rassemblées. Sept tombes de dirigeants mayas sont ainsi reconstituées.

Une autre partie des masques exposés représente les divinités du panthéon maya qui, à l’instar des ancêtres mythiques incas, combinent des traits humains, animaux et végétaux. Portés par l’élite maya durant les cérémonies rituelles, les masques lui permettaient d’endosser le visage de la divinité et d’accomplir ainsi son rôle d’intermédiaire entre les sphères terrestre et céleste. Lire la suite ici


Crédit photo © AFP / Martin Bureau - Masque funéraire

L’Arbre et le Photographe : Exposition à l'école nationale des Beaux-arts de Paris

L’Arbre et le Photographe : Exposition à l'école nationale des Beaux-arts de Paris du 3 février 2012 au 22 avril 2012...
L’Arbre et le photographe présente une centaine de photographies du XIXe siècle à nos jours, principalement issues des collections des Beaux-arts de Paris, sur le thème de l’arbre et de la forêt.

L’arbre a toujours fasciné, visuellement, graphiquement et symboliquement. Riche d’un fonds exceptionnel de plus de 70 000 photographies, l’École nationale supérieure des beaux-arts se propose d’en exposer une centaine consacrée à ce thème. De la vivifiante forêt de Barbizon à la ville paysagée, des nostalgiques promenades d’Atget à l’orientalisme fleurissant, après les peintres, les dessinateurs et les graveurs, les photographes du XIXe siècle ont réussi à en restituer toute la poétique réalité.

Crédit photo Collections des Beaux-arts de Paris

L’exposition présente des photographies toutes signées des grands maîtres du XIXe siècle : les familiers de la forêt de Fontainebleau, Alfred Briquet, Paul Berthier, Alexandre Famin, Henry Langerock, Achille Quinet ; les amoureux de la ville, Eugène Atget, Giacomo Caneva, Jean Laurent, Charles Marville, Séraphin Mieusement ; les pionniers des lointains, Désiré Charnay, Félix Bonfils, Luigi Fiorillio, G. Lékégian, Pascal Sebah, Félix Teynard, Zangaki.

Cet ensemble patrimonial trouve un prolongement dans une présentation de photographies contemporaines réalisées par des professeurs de l’École, Jean-Marc Bustamante, Éric Poitevin, et de jeunes artistes diplômés de l’Ecole : Claire Adelfang, Fanny Beguery, Domitille Chaudieu, Lukas Hoffmann, Hermann Wendler ; mais aussi par des artistes de renom tels Anna et Bernhard Blum, Beatrice Caracciolo, Michael Kenna, Sarah Moon, Mark Ruwedel, Tessa Trager... Lire la suite ici
Commissaire : Anne-Marie Garcia

mercredi 25 janvier 2012

Les Halles de Baltard - Métiers du jour et de la nuit : Exposition au musée Carnavalet

Parallèlement à l’exposition Le peuple de Paris au XIXe siècle, le musée Carnavalet organise une exposition-dossier sur une thématique voisine à la Galerie de liaison du Musée Carnavalet jusqu'au 26 février 2012...
Cette exposition est consacrée aux Halles édifiées au cœur de Paris par Victor Baltard (1805-1874) entre 1852 et 1870. Chacun des 10 pavillons avait alors sa spécificité : le N°3, la viande ; le N°9, le poisson...

Arrivages et ventes entre 21h et 8h étaient ponctués par la cloche, et le ballet des acteurs de cet énorme marché commençait : mandataires, facteurs, forts, verseurs de poissons... Le Carreau proposait fruits et légumes et s’organisait dans les allées couvertes et sur les voies publiques alentour. Marchandes de soupe ou de café, balayeurs participaient à cette effervescence. Dans les caves, un monde parallèle : lotisseurs-gaveurs, cabocheurs, pétrisseurs de beurres,compteurs mireurs d’œufs…Les Halles de Paris déménagèrent à Rungis en 1969, et furent détruites en 1971.

Toute cette atmosphère, fort bien décrite par Emile Zola dans « Le Ventre de Paris », se retrouve dans cette exposition-dossier au travers de gravures, dessins, photos et cartes postales tirés des collections du musée Carnavalet.

Crédit photo © Musée Carnavalet / G. Leyris

Parmi les nombreux artistes qui ont arpenté les Halles de Paris et ce quartier, le sculpteur Gaston Schweitzer (1879-1962) est probablement le plus singulier au regard d’une production dense et originale, présentée pour la première fois à Paris. Plus de 100 plâtres originaux, provenant des collections de la ville de Pontivy, font découvrir au visiteur les multiples facettes des activités et des rapports humains entre travailleurs, consommateurs et gens à la marge de la société : bouchers, vétérinaires, coupeurs de viande, fendeurs de porcs, forts, porteurs, portefaix, marchands de fromages, goûteurs, poissonniers, vendeurs de primeurs, mandataires, vitriers, raccommodeurs de faïences, ou « professionnelles du plaisir » de la rue Saint-Denis...sans oublier les clochards, les passants et silhouettes anonymes de badauds, ménagères, religieux et touristes qui pouvaient se croiser aux Halles de Paris. Lire la suite ici

Commissaires : Charlotte Lacour-Veyranne et Valéry Jobbé-Duval, musée Carnavalet

La mode...

« La mode selon laquelle nous pensons change comme la mode selon laquelle nous nous habillons et pour la plupart des gens, il est difficile, sinon impossible, de penser autrement que suivant la mode de leur époque. » [George Bernard Shaw - Extrait de la préface de Sainte-Jeanne]

Crédit photo Derek Lam via This is glamorous

Louis Armstrong - Mack The Knife (1959)

mardi 24 janvier 2012

Nature...

En feuilletant les pages de l'excellent blog de mon amie Delphine (Paradis express), je me suis arrêté un instant sur ces belles photos que je confie à ce blog.



Crédit photos Paradis express

Mon oeil...

J'étais inquiet des douleurs tenaces que j'ai dans les yeux et qui me font passer des nuits difficiles. Je retrouve mon ophtalmologiste, ce matin, pour me rassurer. J'ai beaucoup de tension dans les yeux. Tension élevée mais les examens ne révèlent aucune anomalie pour s'en inquiéter. Je dois tout simplement me surveiller.

En consultation, j'ai eu droit à un petit cours. J'ai compris que l’œil est un système optique qui doit avoir une forme stable. Il est comme un ballon dont la pression doit être stable. L’œil secrète un liquide appelé humeur aqueuse qui est éliminée en permanence par de petits trous appelés trabéculum. Lorsque l’issue de l’humeur aqueuse se fait mal, la pression augmente dans l’œil ce qui finit par altérer les fibres du nerf optique et peut conduire à la cécité.

J'ai entendu des mots que j'ignorais, le glaucome par exemple. C'est une maladie oculaire qui touche principalement les personnes âgées de plus de 45 ans. Il est dû à une montée de la pression oculaire entraînant une atteinte du nerf optique et du champ visuel. La polarimétrie à balayage laser (GDX) permet de mesurer l’épaisseur des fibres optiques péri-papillaires par quadrant horaire.

La surveillance de l'évolution du glaucome se fait principalement par le champ visuel, le GDX Vcc et l'OCT papillaire. C'est très technique tout cela mais il est important de le savoir avant qu'il ne soit trop tard.
Je me souviens d'un proverbe albanais qui dit « Qui sait lire et écrire a quatre yeux. » Moi, je sais lire et écrire. Je n'ai que deux yeux et je voudrais absolument les garder.


Crédit photo Baudouin N'G - Mes yeux

dimanche 22 janvier 2012

Americans in New York 2 : Exposition collective à la galerie Michel Rein

Americans in New York 2 : Exposition collective (LaToya Ruby Frazier, Sharon Hayes, Leigh Ledare, curator Ami Barak) à la galerie Michel Rein du 28 janvier au 24 février 2012...
Cinq ans après une première exposition sous le même intitulé (AMERICANS IN NEW YORK avec Matthew Day Jackson, Marc Ganzglass, Jill Magid, Laurel Nakadate, Mika Rottenberg) et dans les mêmes murs, voici le temps d’un bis repetita. Mais un même titre ne veut pas forcément dire exposition semblable, ni même une "seconde saison". Le prétexte reste le même, mais la gémellité s'arrête là. New York, incontournable capitale de l’art contemporain, offre toujours une scène revigorée et revivifiée.

Crédit photo Courtesy of the artist, Pilar Corrias gallery et galerie Michel Rein - Leigh Ledare, Mom as Baby Jane, Détail 2004

Dans cette métropole tentaculaire où les artistes affluent de toute part, un constat s’impose : les forces de la globalisation présentes aussi dans le champ de l’art laissent paradoxalement une voie assez large à des horizons culturels qui s’efforcent d’y échapper. New York n’est pas l’Amérique dit-on, mais l’Amérique a besoin de New York pour exister globalement, c’est ce que cette exposition essayera de démontrer sous la forme de quelques tranches d’actualité à fort caractère identitaire. Les trois artistes invités utilisent l'image photographique pour raconter, tour à tour, le lien tendu entre privé et public, entre récit personnel et histoire collective, entre le politique comme combat privé et l’engagement par excellence et la manière dont cela déteint sur la place de la cité. Lire la suite ici


Autres petits plaisirs...

De mon escapade parisienne, j'ai ramené une spécialité culinaire congolaise pour faire goûter à mes amis. Le « Mfumbua », légume finement haché et préparé dans une sauce à l'arachide avec du poisson fumé, à déguster avec une bonne « kwanga ou chikwengue (pain de manioc) » enveloppée dans des feuilles de bananier.

Ce matin, j'ai pris un plaisir fou à cuisiner ce plat que je n'avais jamais cuisiné auparavant pour régaler les papilles de mes amis. C'est aussi une excellente opportunité d'échanger et de faire connaître les cultures africaines. Ceci m'a permis de m'exiler volontairement loin loin d'ici pour y retrouver le goût des temps perdus.
Je remercie Miki de m'avoir trouvé les ingrédients pour ce menu surprise.


Crédit photo Baudouin N'G - Mfumbua, spécialité congolaise dégustée en janvier 2012

Akseli Gallen-Kallela - Une passion finlandaise : Exposition au musée d'Orsay

Akseli Gallen-Kallela - Une passion finlandaise : Exposition au musée d'Orsay du 7 février au 6 mai 2012...
Considéré comme l'un des artistes les plus emblématiques du génie finlandais au tournant des XIXe et XXe siècle, Akseli Gallen-Kallela n'a jamais fait l'objet d'une exposition monographique en France. Ses liens avec Paris sont cependant étroits. Il fut élève de l'Académie Julian dans les années 1880, triompha à l'Exposition universelle de 1900 avec les fresques du pavillon finlandais sur des thèmes tirés de l'épopée du Kalevala, exposa de nouveau à Paris en 1908 avant de s'embarquer pour l'Afrique d'où il ramena une série flamboyante de peintures et aquarelles.

C'est de cette brillante carrière, dans laquelle s'imbriquent naturalisme, néoromantisme, symbolisme, expressionnisme - et qui accorde une place aux arts décoratifs -, que rend compte l'exposition. Elle rassemble des oeuvres, provenant de prestigieuses institutions finlandaises et de collections privées, qui constituent les manifestes d'un art trop longtemps réduit à l'expression d'un sentiment national. Lire la suite ici


Crédit photo © Turku Art Museum / Kari Lehtinen - Akseli Gallen-Kallela (1865-1931), La Défense de Sampo [Sammon puolustus] 1896

RIP Etta James

Journée paisible à Paris...

Depuis une semaine, j'ai reçu un SMS de mon ami pour me signaler qu'il est à Paris pour passer quelques jours en famille. René Loubayi, mon meilleur pote de Faculté de Nanterre, est professeur d'histoire à l'île de la Réunion.

Vendredi, loin des potins du monde rural, je consacre ma journée pour les retrouvailles à Paris. Je suis très excité de retrouver cette ville que j'aime énormément.
Aussi, je profite de cette escapade pour voir un ami galeriste. A midi, nous nous attablons dans un bistrot pour goûter un pied de cochon, spécialité de la maison. Mon ami est reconnu par un confrère galeriste qui vient nous saluer et partager notre table. Être reconnu à Paris, c’est tout un programme...

Dans la discussion, je sens que le désir d’art s’exprime cependant à travers le choix qu’ont fait un certain nombre de gens, artistes ou passionnés, de « vivre et travailler » dans ce monde de l'art, un monde très particulier. Nous parlons aussi du patrimoine, des concerts, des musées, du spectacle vivant et ce qui se fait de mieux dans les galeries. Un moment fort intéressant.

Après le repas, je rejoins mon ami René au lieu du rendez-vous qui est un café qui s’appelle « L'Imprévu ». De l'imprévu, il y en eu. Deux autres potes que je n'ai pas revu depuis 23 ans sont venus nous rejoindre. Ainsi, j'ai revu Parfait, mon autre ami et Miki, la femme de René Loubayi. Des retrouvailles très animées, pleines d'émotions et avec des bavardages à bâtons rompus. Nous avons revisité nos trente cinq années d'amitié et remué de nombreux souvenirs.
Nous constatons qu'avec les années qui passent, nous avons changé et que le temps, le bon temps, a fait son œuvre.
Il y a des petits bonheurs dans la vie qu'il ne faut en aucun cas rater.


Crédit photo DR / Pline - Station Vélib' place de la Bastille, Paris

samedi 21 janvier 2012

Bon week-end...

Ne t’attache en toi qu’à ce que tu sens qui n’est nulle part ailleurs qu’en toi-même et crée de toi, impatiemment ou patiemment, ah ! le plus irremplaçable des êtres. [André Gide - Les Nourritures terrestres]

Crédit photo This is glamorous

jeudi 19 janvier 2012

Junior Wells - Hoodoo Man Blues

Ce soir, j'avais envie d'écouter ce grand bluesman, Junior Wells. Il a joué avec des ténors du blues comme Earl Hooker, Otis Rush, Otis Spann, Elmore Brooks, plus connu sous le pseudonyme d'Elmore James, Muddy Waters..., et a réalisé surtout une magnifique carrière avec Buddy Guy. Il est considéré comme l'un des meilleurs et des plus expressifs harmonicistes que je n'ai jamais entendu.

Claire Prenton Céramiques





Crédit photos Claire Prenton via Paradis express

Lectures : Ecrivains à Chambord

A partir de février 2012, profitez, le dernier dimanche de chaque mois, d'une lecture au château de Chambord. Découvrez dès maintenant la programmation de la deuxième saison des "Ecrivains à Chambord"...

Crédit photo DR / Domaine national de Chambord

Le Domaine national de Chambord a inauguré en février 2011, une nouvelle série de lectures, Ecrivains à Chambord, une manière de rendre hommage à l’homme de lettres que fut François 1er : il fit en effet enrichir la collection de la bibliothèque royale, promulgua l’ordonnance de Villers-Cotterêt et fut lui-même poète. En outre, l’étroitesse de ses liens avec sa sœur, Marguerite de Navarre, et nombre d’intellectuels, poètes ou théologiens de la Renaissance française, en font un des souverains les plus intimement liés au texte et à ses enjeux.

Cinq siècles plus tard, ce rendez-vous littéraire mensuel permet à tous les publics d’écouter gratuitement un grand écrivain de notre temps lire un passage d’une de ses propres œuvres, parfois avec un accompagnement musical ou théâtral, et d’échanger ensuite avec l’auteur.
Lire aussi ici

New Frontier : l'art américain entre au Louvre

New Frontier : l'art américain entre au Louvre. Thomas Cole et la naissance de la peinture de paysage en Amérique jusqu'au 16 Avril 2012
Cette exposition-dossier consacrée à Thomas Cole (1801-1848) et à la naissance du paysage américain constitue la première étape d’une collaboration entre le musée du Louvre, le Crystal Bridges Museum of American Art de Bentonville (Arkansas), le High Museum of Art d’Atlanta et la Terra Foundation for American Art. Ce projet de collaboration de plusieurs années est fondé sur un programme d’échanges d’œuvres, mais aussi sur des projets éducatifs et scientifiques.

Crédit photo (C) RMN (Musée du Louvre) / Jean-Gilles Berizzi - Thomas Cole (1801-1848), La Croix dans la Solitude d'aprés un poème de F.D. Hermans

Le Louvre possède une seule œuvre du peintre américain Thomas Cole : La Croix dans la solitude, qui marque l’aboutissement de sa réflexion, initiée dès 1825-1826, autour de la représentation d’un certain type de paysage américain, grandiose et en partie sauvage (the wilderness). Portées par un sentiment particulier de la nature élaboré par la littérature américaine contemporaine, les oeuvres de Cole et bientôt de son compagnon Asher B. Durand initièrent un genre particulièrement fécond et spécifique de la jeune école de peinture américaine. Cinq peintures provenant des collections des institutions partenaires permettent de rendre compte de ce moment inaugural.

En regard de la peinture du Louvre est proposé le grand Paysage avec une scène du « Dernier des Mohicans » peint par Cole en 1826 (collection de la Terra Foundation) et qui compte parmi les premiers chefs-d’œuvre de l’artiste fortement inspirés par les textes fondateurs d’un certain imaginaire américain. Lire aussi ici

mercredi 18 janvier 2012

Johann Sebastian Bach - Cantate BWV 147 - 1

J'ai bien aimé...

Ce midi, mon amie m’envoie un SMS pour me dire que nous sommes invités à déjeuner chez une de ses sœurs. J'aime me rendre dans cette maison où je retrouve la convivialité et, avec grand appétit, la cuisine que j'affectionne.

Au repas, on a beaucoup goûté (quartier d'avocat avec une mayonnaise maison, une purée d'avocat et miettes de thon, un délicieux bœuf bourguignon, plateau de fromages et fruits frais), beaucoup bu et beaucoup parlé.

Mon amie me dit que c'est chez sa sœur que se déguste l'un des meilleurs bœuf bourguignon du coin, distingué par les papilles de la famille et des amis intimes. Le meilleur, je ne sais pas, mais à coup sûr une véritable réussite de douceur et de croquant, d'équilibre et de tendresse.

Evidemment, nous avons aussi discuté des prochaines élections présidentielles, actualité oblige mais aussi de ce qui remue la sauce des médias. Le triple A par exemple. Doit-on accepter de vivre avec une épée de Damoclès sur la tête en acceptant d'accorder un crédit aux agences de notation comme Fitch, Moody’s ou Standard & Poor’s ?

Même si nous n'avons guère de tendresse pour ces agences, nous croyons que, malheureusement, leur avis compte sur les marchés financiers, sert les intérêts des politiques en pleine campagne présidentielle et alimente très sensiblement les médias au même titre que le printemps arabe, l'actualité syrienne, le tsunami au Japon ou l’affaire DSK.
Nous avons passé un bon moment et avons, par ailleurs, ri de mille choses.

Des goûts et des couleurs...

Le charme d'un élégant appartement parisien...





Crédit photos Stéphen Clément / Bo Bedre

mardi 17 janvier 2012

Doisneau Paris Les Halles : Exposition à la Mairie de Paris

A partir du 8 février 2012 jusqu'au 28 avril 2012, la Mairie de Paris présente « Doisneau Paris Les Halles », 150 vintages de Robert Doisneau exposés au salon d'accueil de la Mairie de Paris.
Avant d’être le centre commercial que nous connaissons, les Halles étaient un grand marché de Paris. L’un des artistes ayant le mieux immortalisé cette époque et cet endroit si particulier est sans doute le photographe Robert Doisneau.

Crédit photo Atelier Robert Doisneau

La première photo que Robert Doisneau a pris des Halles date de 1933. Il restera fidèle à ce quartier pendant 40 ans, y revenant sans cesse le visiter, le flairer, prendre son pouls, suivre ses mutations et ses nouveautés.
Quand dans les années 1960, les Halles seront menacées, l’inquiétude et la colère de Robert Doisneau le pousseront à tout voir, et à tout photographier. C’est alors que son regard, esthétique et sociologique, deviendra proprement patrimonial.
Cette exposition présentera au public 150 tirages, pour la plupart vintages.
Une salle sera spécialement consacrée aux photographies en couleur des années 1960, permettant ainsi un regard nouveau, aussi bien sur le quartier des Halles que sur l’œuvre de Doisneau.


Le livre - catalogue édité par Flammarion - comprend 185 photographies de Robert Doisneau qui fait l'éloge de la vie grouillante du « ventre de Paris », célèbre le génie de Baltard, et regarde avec une consternation indignée le trou des Halles jusqu'à sa métamorphose en un affligeant forum.

Dans un texte passionnant Vladimir Vasak instruit avec un soin méticuleux la chronique de la mort annoncée d'un des plus beaux quartiers de Paris. Lire aussi ici

Un feu clignotant...

Le feu clignotant est un élément de sécurité indispensable. Avez-vous remarqué qu'il y a un nouveau feu clignotant à la sortie de Nibelle sur la route de Chambon la forêt ?
Non ? C'est normal, ça fonctionne une fois sur deux.

Je suis tombé samedi par accident sur l’incident, en toute fin de soirée, quand j'ai vu un automobiliste me refuser le « cédez le passage ». Mon sang froid et ma maîtrise du véhicule m'ont évité d'avoir un accident.

Existe-t-il quelque chose de plus désolant aujourd’hui que de constater la mise en place des choses qui ne fonctionnent qu’après plusieurs réclamations ?
La première fois que j’ai vu le feu et la taille du panneau solaire photovoltaïque, je me suis demandé si les techniciens ne nous avaient pas fait une mauvaise blague. Hélas, j’avais un peu raison.

Doit-on désormais douter de la pertinence des choses qui se mettent en place ? Tel était le cas pour la programmation des lumières dans le bourg qui s'est avérée chaotique dans les premières semaines et ça risque d'être le cas pour ce feu clignotant si on néglige d'agir rapidement.
Voilà une triste façon de faire avancer les choses.


Crédit photo Baudouin N'G - Feu clignotant, Janvier 2012

lundi 16 janvier 2012

Jacques Brel - Bejart : Quand on n'a que l'amour

Culturel...

Samedi denier, le culturel l'emporte sur tout le reste. En feuilletant un numéro ancien d’une revue chez mon ophtalmologiste, je retrouve le reportage sur un sculpteur. Je décide de visiter son atelier.
Nous avons longuement discuté ensemble de l’opportunité qu’il y aurait un jour à réunir à un lieu propice aux expositions les oeuvres des artistes de la région.
Nous parlons de la difficulté qu'on peut rencontrer à émouvoir des gens enracinés dans un milieu rural et qui ne reconnaissent pas la place du culturel dans le développement parce qu'ils n'ont jamais quitté leur région natale et sont inattentifs aux mouvements du monde.

Dans la soirée, j'assiste à un concert à Corbeilles où deux chorales a cappella se réunissent pour le plaisir de chanter, d'offrir au public un répertoire varié et permettre à chaque chorale de dévoiler, plus en profondeur, son originalité.

A la fin du concert, les chorales La Chantereine de Ladon et Le Choeur de l'Orangeraie de Corbeilles se retrouvent pour chanter « Over the rainbow » d'Arlen-Harburg, mettant un terme à deux heures de spectacle et de chant d'excellentes qualités.



Crédit photos Baudouin N'G - Concert Chorales La Chantereine de Ladon et Le Choeur de l'Orangeraie de Corbeilles, Janvier 2012

Lundi...

Si Paris m'était conté..., comme l'écrivait Sacha Guitry.

Crédit photo Baudouin N'G

dimanche 15 janvier 2012

Un dimanche froid et délicieux...

Dimanche de promenade malgré un vent froid. Je profite de mon après-midi pour aller chiner dans l'une des premières brocantes de l'année à Saint Maurice sur Fessard sur la route de Montargis (Loiret).
Nouvelle rencontre avec Claudie, une brocanteuse, qui m’avait, il y a quelques années, vendu une belle paire de vases en verre tranlucide incolore et améthyste de Bohême que j'ai revendu dans ma boutique en ligne. Elle a toujours de la belle et précieuse marchandise.

Au retour, je passe par Grignon et la commune de Vieilles-Maisons-sur-Joudry. Je fais une petite promenade le long du canal d'Orléans pour contempler la nature, les écluses et les oiseaux des étangs.

Il fait très froid en fin de journée, ce qui limite sans doute la fréquentation de cet endroit magnifique, inévitablement tributaire de l’état de la météorologie. On y vient plus volontiers ici par beau temps que lorsqu’il fait froid !

Ma promenade dominicale s’achève chez de bons amis pour un rite immuable, la rencontre du dimanche soir où, nous avons cette fois-ci dégusté une andouillette de Guéméné avec un bon verre de vin rouge Haut-Médoc. Il y a des signes de plaisir de la vie qui ne trompent pas et c’est une vraie bonne surprise...






Crédit photos Baudouin N'G - Promenade le long du canal d'Orléans, janvier 2012
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