jeudi 31 mai 2012

ANJE : Réunion d'information...


Laurence Euvrard, présidente de l'association et Joe Chaploteau, directrice du centre aéré, me confirment que le vendredi 15 juin 2012 à 20h15, se tiendra une réunion d'information de l'ANJE (Association Nibelloise Jeunesse et Enfance) dans la salle Jacques Poisson à Nibelle. Autour de l'équipe que constitue l'association, la directrice du centre, Joe Chaploteau, présentera le projet pédagogique du centre de loisirs et son équipe d'animateurs Bafa, Bafa stagiaire et bénévoles.

En cette occasion, la directrice du centre donnera le planning des sorties et les lieux des mini-camps, et précisera que le centre de loisirs de Nibelle est agréé par la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports (DDJS) pour l'accueil collectif de mineurs et aussi que dans le cadre de son projet pédagogique, la structure a pour but de faire vivre aux enfants des moments de loisirs, de partages et d'échanges qui leur permettront de grandir et de s'épanouir dans un lieu adapté à leurs besoins.

Le centre de loisirs sans hébergement de Nibelle se déroulera du 9 juillet au 3 août 2012 à la salle des fêtes Jacques Poisson. Fier de son expérience et de son savoir-faire, le centre aéré qui fête ses 22 ans d’existence attire de plus en plus de monde. L'ANJE propose aux enfants scolarisés à Nibelle et dans les communes environnantes de venir au centre de loisirs pour passer de bons moments durant les grandes vacances de fin d'année.




Crédit photos © Baudouin N'G - Centre aéré ANJE de Nibelle saison 2011

Frank Sinatra- People Will Say We're in Love (1943)

Journée mondiale sans tabac

Journée mondiale sans tabac : 31 mai 2012...
A vous qui m'entourez tous les jours ou de temps en temps, femmes et hommes que j'aime profondément, je vous supplie de prendre conscience de ce qui suit : cette journée, organisée chaque année le 31 mai, est axée autour des dangers du tabac pour la santé et de l’action antitabac de l’OMS. Le tabagisme, qui provoque actuellement la mort d’un adulte sur dix sur la planète, est la deuxième cause de décès au niveau mondial.

L'Assemblée mondiale de la Santé a institué la Journée mondiale sans tabac en 1987 pour faire mieux connaître, partout dans le monde, l'épidémie de tabagisme et ses effets mortels.

Elle donne l'occasion de faire passer certains messages spécifiques en matière de lutte antitabac ainsi que de susciter l'adhésion à la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac. Le tabagisme est la plus importante épidémie évitable que doit affronter la communauté sanitaire.


Crédit photo © Baudouin N'G - Rassurez-vous, je fais semblant...

mercredi 30 mai 2012

Toutankhamon - Son Tombeau et ses Trésors : Exposition à la Porte de Versailles

L'exposition internationale Toutankhamon, son Tombeau et ses Trésors s'installe à Paris jusqu'au 1er Septembre 2012. A cette occasion, le Pavillon 8 de la Porte de Versailles abrite une reconstitution grandeur nature des trésors retrouvés dans le tombeau du célèbre pharaon. Voilà un événement mondial à ne rater sous aucun prétexte !

Crédit photo © DR / Toutankhamon son Tombeau et ses Trésors - Masque funéraire en or du pharaon Toutankhamon

Le 4 novembre 1922, l’archéologue anglais Howard Carter découvre le tombeau intact de Toutankhamon. Il a environ 3.300 ans ! Roi de l’Égypte ancienne sous la XVIIIe Dynastie, le pharaon régna de 1332 à 1323 avant notre ère. Pour l’exposition « Toutankhamon, son Tombeau et ses Trésors », trois chambres funéraires et une vaste collection des principaux trésors de Toutankhamon sont reconstituées dans les conditions d’origine sur 4500 m2. Cinq années ont été nécessaires pour préparer cette exposition qui dévoile au public plus de 1000 objets funéraires, prévus pour accompagner le jeune pharaon dans son voyage dans l’au-delà.

Toutankhamon fascine. Son masque doré est l’une des images les plus connues au monde. Imprimés dans la conscience collective, sa mort mystérieuse, ses trésors légendaires et la malédiction des pharaons frappent les imaginations. Déjà déifié de son vivant, Toutankhamon a été élevé, au fil des siècles, au rang de divinité archétypale. Les expositions qui lui sont consacrées attirent des centaines de milliers de personnes dans le monde entier. Lire aussi ici

Encore des roses ici et là...



Crédit photos © Baudouin N'G - Roses à Nibelle, Mai 2012

La rose : Je l'aime en secret...

La rose, appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l’Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, et pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs », présente dans presque tous les jardins et presque tous les bouquets. C’est sans doute la fleur la plus cultivée au monde, mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l’églantier) aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ».

La rose est la fleur des rosiers, arbustes du genre Rosa et de la famille des Rosaceae. La rose des jardins se caractérise avant tout par la multiplication de ses pétales imbriqués qui lui donnent sa forme caractéristique.

Crédit photo Roses in gardens

Rose : amour, je vous aime d'un amour fou, poète, romantique, fidélité.
Rose orange ou corail : reflète le désir et l'enthousiasme.
Rose blanche : amour pur, rien n'entachera mon amour pour vous. Amour spirituel, pureté. Vous êtes innocente et pleine de charmes. Amour tendre.
Rose bleue : mystère, patience, atteinte de l'impossible, espoir éternel.
Rose jaune : infidélité, vous êtes volage. Jalousie. Amour faiblissant. Inquiétude amoureuse.

Rose lavande : coup de foudre, je suis tombé amoureux de vous.
Rose noire : mort, mon amour pour vous n'existe plus. Mon amour perdurera jusque dans la mort.
Rose pompon : amourette.
Rose rose : amour véritable et tendre, je vous aime réellement. Votre beauté est épanouie. Amour empreint de réserve ou qui peine à s'exprimer, timidité aidant. Elle symbolise aussi tout simplement l'amitié.

Rose mauve : tristesse, chagrin, ou nostalgie.
Rose rouge : amour, passion, mon amour pour vous est ardent. Désir de volupté. Désir charnel. Un bouquet de douze roses rouges : demande en mariage.
Rose rouge foncé : amour pour la vie.
Rose rouge et blanche : union, vivons ensemble, ou pureté d'un amour passionné (platonique).


Crédit photo Roses in gardens

Des goûts et des couleurs...

J'aime beaucoup cette décoration par sa simplicité, sa finesse et aussi par la blancheur qui lui est associée...
En réalité le blanc est une valeur et non pas une couleur. Dans la symbolique occidentale, le blanc est généralement associé à la pureté, à l'innocence, à la chasteté, à la paix (drapeau blanc), à la virginité, au mariage, à la spiritualité (couleur de la papauté), à la sainteté et à la vie.









Crédit photos Skeppsholmen via afflante

mardi 29 mai 2012

Marion Harris - It Had To Be You (1924)

Faites entrer la Culture...

Cet après-midi, rendez-vous avec mon notaire. Dans la salle d'attente, je discute avec un enseignant à la retraite. Cette personne connait bien le monde enseignant, sait ce qu’est une classe, ce que sont des élèves, ce qu’est également la fracture culturelle qui distingue si durement ceux de nos concitoyens qui accèdent à une culture large et enracinée et ceux qui restent confinés dans des cultures sommaires. Tous les deux, nous sommes d'accord que l’éloignement de la culture ou plutôt le confinement dans une culture sommaire est bien, au sein de la société, l’un des symptômes de l’exclusion.

Nous parlons aussi de la dernière nuit des musées où certains lieux ont attiré plus de visiteurs que d'autres.
Lors de mon escapade parisienne, j'ai remarqué des groupes d'enfants accompagnés des parents pour visiter les musées et lieux chargés d'histoire. C'est une très bonne initiative de commencer si tôt à intéresser les petits enfants à toutes sortes de cultures.

Ici ou là, on peut claironner à qui veut l'entendre que les musées sont ouverts à tous et attendent qu'on vienne les visiter. Il faut impérativement des actions, des initiatives et faire sortir nos musées de la naphtaline et en faire une étape importante de la découverte du patrimoine et de l'histoire. Le musée doit être un lieu de culture vivante et non un reliquaire formolisé de valeurs patrimoniales.

Je confie cette préoccupation à ceux qui ont la responsabilité de déployer pour la politique culturelle des points de vue qui sortent des sentiers battus et ouvrent des perspectives véritablement nouvelles, et confier à tous cette culture au sens large.

Gare du Nord - Photographes néerlandais à Paris 1900-1968 : Exposition à l’Institut néerlandais

Gare du Nord - Photographes néerlandais à Paris 1900-1968 : Exposition à l’Institut néerlandais jusqu’au 29 juillet 2012...
C'est une très belle exposition avec des photos étonnantes pour plaire à tous les amoureux de Paris. Paris, ville de la photographie, a toujours attiré des professionnels du monde entier. Les photographes néerlandais ont eux aussi été nombreux à consacrer une partie de leur travail à cette ville visuellement si riche.

Crédit photo © Fred Bonnet - Mode sur la Place de la Madeleine, 1956

Suite à un franc succès au Musée de la Photo de La Haye (au Pays-Bas), l’exposition est maintenant à voir à Paris. Gare du Nord réunit les épreuves d’une cinquantaine de photographes, parmi lesquels Ed van der Elsken, Johan van der Keuken ou encore Maria Austria et propose aussi bien leur vision de la vie quotidienne des Parisiens, que des portraits de célébrités comme Orson Welles, Juliette Gréco, Christian Dior ou encore la très jeune Brigitte Bardot…

Parallèlement deux films expérimentaux, Etudes des mouvements à Paris (1927) de Joris Ivens et Les Halles de Paris (1939) de Paul Schuitema, seront projetés dans le cadre de l’exposition. Lire ici


Crédit photo © Emmy Andriesse / Collections particulières de la Bibliothèque de l’Université de Leyde

Nicolas Poussin et Moïse - Histoires tissées : Exposition à la Galerie des Gobelins

Nicolas Poussin et Moïse - Histoires tissées, Exposition à la Galerie des Gobelins jusqu'au 15 décembre 2012...
La Tenture de Moïse, réalisée d’après huit oeuvres de Nicolas Poussin et deux de Charles Le Brun sera présentée pour la première fois à Paris depuis ses années de tissage, vers 1683-1685. Après plusieurs étapes, l’exposition clôt avec éclat son voyage avec l’apport de découvertes inédites intervenues entre temps.

Peintre français, Nicolas Poussin (1594-1665) a atteint de son vivant une renommée que la postérité n’a fait que confirmer. Pourtant, il s’est illustré presque exclusivement par des tableaux de chevalet, à une époque qui réservait habituellement les honneurs au décor mural ou au format monumental. Il a fallu attendre sa mort pour que ses compositions atteignent enfin des dimensions proprement monumentales. En effet, quarante ans se sont écoulés entre le tableau et sa traduction textile.
Poussin a dessiné et peint, au cours de sa carrière, une vingtaine d’oeuvres traitant des principaux moments de la vie de Moïse, y revenant parfois à plusieurs années d’écart. Peu de temps après sa mort, le roi Louis XIV a, en effet, voulu consacrer la place de ce grand artiste, en transposant certaines de ses compositions en tapisseries.

Crédit photo DR - Nicolas Poussin et Moïse - Histoires tissées, Galerie des Gobelins

L’exposition Nicolas Poussin et Moïse. Histoires tissées rassemble donc pour la première fois depuis le XVIIe siècle les tapisseries d’après Poussin réalisées à la Manufacture royale des Gobelins sur le thème de la vie de Moïse ainsi que des dessins, gravures et tableaux de l’artiste qui leur ont servi de modèles ou qui traitent de l’histoire de ce personnage.
Aux côtés des grands décors tissés sont présentés deux cartons peints originaux de la fin du XVIIe siècle : l’Adoration du Veau d’or et surtout l’étonnant carton peint dû au peintre des Gobelins, François Bonnemer (1638-1689) récemment redécouvert et restauré pour l’exposition. Ce carton reprend l’une des plus célèbres peintures du classicisme français La Manne dans le désert réalisée par Nicolas Poussin en 1639, aujourd’hui conservée au Louvre.

Comme le souligne Marc Bayard, co-commissaire de l’exposition : "Avec les tapisseries, nous entrons dans un autre domaine, technologique et esthétique. Nous pénétrons dans l’art du grandiose et de la machinerie. Le très grand format, en raison de son caractère à taille réelle, proche des scénographies existantes de l’époque, accompagne l’oeuvre dans un autre domaine. Nous passons ainsi du tableau de collection, intime et rapproché, à la représentation grandiose et fastueuse." Lire ici

mercredi 23 mai 2012

Lilian et Isaac...

Je les ai surpris ce matin dans le bac à sable...



Crédit photos © Baudouin N'G - Lilian et Isaac, Mai 2012

Lire...

« Lire, c'est voyager; voyager, c'est lire. » [Victor Hugo - Extrait du Choses vues]

Crédit photo Monica Vitti dans L'Avventurra via Iain Claridge

mardi 22 mai 2012

VIP « Véritables Insoumis - Pseudo-rêveurs » : Exposition à Montbarrois (45)

Je reçois l'invitation pour le vernissage de l'exposition « VIP - Véritables Insoumis, Pseudo-rêveurs » qui aura lieu à Montbarrois (Loiret) du 1er au 30 juin 2012.
Les amateurs et passionnés d'art contemporain sont attendus au Centre d'art contemporain « Les Temps d'art » et dans le jardin derrière la Grange où une vingtaine d'artistes exposeront leurs oeuvres.
Renseignements : 02 38 33 77 09


Métamorphoses - Bertrand Gadenne : Exposition à la Résidence Ecritures de Lumière

Métamorphoses - Bertrand Gadenne, exposition à la Résidence Ecritures de Lumière au Lycée Camille-Claudel de Vitry-sur-Seine du 24 mai jusqu'au 3 juin 2012...
Le photographe Bertrand Gadenne a questionné les élèves du Lycée professionnel Camille Claudel de Vitry-sur-Seine sur leur regard artistique au monde tout en jouant avec leur capacité d’évocation autour de la notion de transformation. L’artiste, tel un chef d’orchestre, a traité sous la forme de mises en scène collectives et individuelles cette expérience. Des photographies de grand format restituent cette première résidence Ecritures de Lumière en Val-de-Marne, en partenariat avec la Drac Ile-de-France.

Crédit photo © Bertrand Gadenne - Bertrand Gadenne, Métamorphoses

"Écritures de Lumière" est un dispositif qui encourage le développement de pratiques culturelles et artistiques et vise à développer les résidences de photographes en lien avec le milieu scolaire. Ainsi, en partenariat avec la Galerie, les élèves en 1ère Bac Pro Vente et Terminales Bac Pro Métiers de la mode et du vêtement et Bertrand Gadenne se sont attachés à saisir l’image, l’image juste, avec son pouvoir évocateur parfois insaisissable entre rêve et cauchemar où la métamorphose peut prendre des directions incongrues mais aussi universelles. Lire ici

lundi 21 mai 2012

Rod Stewart - These Foolish Things

Depuis ce matin, il pleut. C'est un temps de « merde » et déprimant. Pour me réchauffer le cœur, j'avais envie d'écouter ça avant d'aller déjeuner.
J'écoute souvent la version de Billie Holiday (1936), mais j'aime aussi cette version chantée par Rod Stewart, un grand artiste que j'aime énormément. Je vous confie ces deux versions, au choix...




Fragments d'un discours onirique : Exposition à Chambord

Jusqu'au 7 octobre 2012, le Domaine National de Chambord propose un parcours d'art contemporain intitulé « Songe d'une nuit d'été » et initié par les Frac Centre, Poitou-Charentes et Pays de la Loire. Sont exposées certaines des oeuvres de Christian Boltanski, Mircea Cantor, Alain Fleischer, Pierre Ardouvin, Marie-Céline Delibiot, James Casebere et Philippe Oudard.

Crédit photo © Mircea Cantor - Deeparture, 2005, coll. Frac des Pays de la Loire

Le Frac Centre, le Frac Poitou-Charente et le Frac des Pays de la Loire mettent en place un parcours « Art contemporain » organisé dans des lieux patrimoniaux des trois régions et dans les Frac : Frac des Pays de la Loire à Carquefou, Château d’Angers, Abbaye de Fontevraud, Château d’Oiron, Château de Chambord, Domaine de Chaumont, Centre d’Art la Chapelle Jeanne d’Arc et musée à Thouars, Abbaye de Noirlac, Frac Poitou-Charentes à Linazay, ville de Chinon et Frac Centre à Orléans.

Ce parcours intitulé Songe d'une nuit d'été s'organise à partir des collections des Frac et d'artistes invités. Au travers d'ensembles thématiques, l'exposition décline les différentes approches et interrogations d'artistes sur le monde des songes et grand mystère du sommeil, cet état qui permet l'émergence d'idées et de visions fantomatiques tour à tour fascinantes et effrayantes. Le sommeil naturel ou artificiel, qui fait surgir rêves et cauchemars, offre une porte d'accès à l'inconscient, vivier fécond de l'imaginaire. Lire ici

Ricard SA depuis 1932 : Exposition au musée des Arts Décoratifs

Hier, en allant chiner dans les brocantes, je découvre le stand d'un ami brocanteur, rempli d'objets publicitaires en tous genres. Ceci me fait penser, en effet, à l'exposition Ricard SA depuis 1932 qui se tient jusqu'au 26 août 2012 aux Arts Décoratifs à Paris.

En quatre-vingts ans, Ricard SA s’est associé à la fois au sport, à la chanson (avec Johnny Hallyday, entre autres), à l’écologie ou à l’art pour développer son image forte. Une stratégie payante puisque, aujourd’hui, bobs, carafes, verres, cendriers ou pendules sont devenus des objets de collection passés dans le patrimoine commun.


Très tôt, Les Arts Décoratifs ont témoigné de la réalité culturelle des produits de consommation, en constituant entre autres une collection d’affiches publicitaires. Cette relation particulière entre les entreprises et le musée oriente encore aujourd’hui sa programmation. Ricard appartient à ces grandes marques qui impriment la mémoire collective. Au-delà de cela, l’aventure Ricard dans le domaine de la communication constitue un cas d’école.

Elle repose sur la personnalité exceptionnelle d’un homme, Paul Ricard (1909-1997) ; des couleurs, un graphisme, des slogans célèbres : « Garçon, un Ricard ! » (1939) ou « Un Ricard, sinon rien » (1984), de nombreux objets (cendrier, broc, pichet), la chanson, le sport, l’écologie, l’art contemporain, le design... sont parmi les modes de communication successifs mis en place depuis 1932 par le fondateur de la société Ricard. En interrogeant les acteurs et les archives de l’entreprise, l’exposition retrace ainsi 80 ans de communication créative. Lire ici pour en savoir plus sur l'exposition.

Lundi...

Crédit photo via 79 Ideas

dimanche 20 mai 2012

Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés Paris

12ème édition du Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés Paris du 20 mai au 3 juin 2012...
Depuis sa création en 2001, le Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés Paris n’a de cesse de faire revivre le jazz à travers concerts uniques, conférences, rencontres entre artistes et expositions dans le quartier mythique de Saint-Germain-des-Prés et s’était déjà installé pour quelques concerts depuis plusieurs éditions dans les 5e, 14e, 15e et 1er arrondissements de Paris. En 2012, grâce à de nouveaux partenariats, l’esprit de ce festival unique voyagera encore davantage dans la ville, tout en gardant ses racines à Saint-Germain-des-Prés, berceau du jazz en Europe.


L'édition 2012 est une édition événement, placée sous le signe du piano qui sera tour à tour pièce maîtresse, bop, mélodieux, groove, surprenant, fondamental, inventif... et encadré par deux maîtres incontestés. Michel legrand et son trio ouvrira au Théâtre de l'Odéon et Ahmad Jamal sera l'invité exceptionnel du festival lors d'une date supplémentaire le 27 juin avec Yusef Lateef pour un concert éblouissant. Vous pouvez désormais fermer les yeux et rêver éveillés, l'édition 2012 vous tend les bras. Très bon festival ! Lire aussi ici

Mon sentiment...

« Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur. » [Stendhal]

Crédit photo Etsy - Non, je ne regrette rien...

vendredi 18 mai 2012

Joe Cocker - N'oubliez jamais

Wim Delvoye « Au Louvre » : Exposition Art contemporain au Louvre

Wim Delvoye « Au Louvre » : Exposition Art contemporain au Louvre du 31 Mai au 17 Septembre 2012...
Le Louvre invite Wim Delvoye à intervenir dans divers lieux du musée : sous la pyramide, dans le jardin des Tuileries, au sein des appartements Napoléon III et dans les salles gothiques du département des Objets d’art.
Après Tony Cragg, Wim Delvoye est le deuxième artiste à concevoir une nouvelle sculpture monumentale pour la colonne du belvédère. Une immense flèche gothique en acier Corten torsadée, intitulée Suppo, sera ainsi exposée jusqu’au 3 décembre 2012.

Parallèlement, une imposante oeuvre en acier Corten dentelé sera présentée dans le jardin des Tuileries, s’inscrivant à l’automne dans le parcours de sculptures de la Fiac.
Au sein du musée, une quinzaine de productions récentes en vitrail, en porcelaine, en bronze, témoignant de ses recherches actuelles sur la sculpture du XIXe siècle et de l’exploration des techniques informatiques de reproduction, seront présentées en contrepoint des collections des Objets d’art.


De la relecture triviale du gothique jusqu’aux déformations baroques de crucifix, l’art populaire et décoratif de Wim Delvoye, qui plonge ses racines dans un détournement ironique des styles du passé, trouve dans le musée du Louvre un écho particulièrement sonore. L’artiste était à l’honneur en 2009 à la Collection Peggy Guggenheim à Venise, en 2010 au musée Rodin à Paris et en 2011 au Palais des beaux-arts de Bruxelles. Au fur et à mesure de ces expositions, il érige une flèche de plus en plus haute jusqu’au spectaculaire Suppo, atteignant au Louvre treize mètres de haut. Lire aussi ici


Crédit photo © Wim Delvoye ADAGP, 2012 - Wim Delvoye, Kashan & Mughal Jail, Tapis de soie indienne sur un moule en polyester (tapisdermie)

Histoires de voir - Show and Tell : Exposition à la Fondation Cartier

Histoires de voir - Show and Tell : Exposition à la Fondation Cartier jusqu'au 21 octobre 2012...
L'exposition Histoires de voir, Show and Tell fait découvrir les œuvres et raconte les histoires de plus de 50 artistes du monde entier, peintres, sculpteurs, dessinateurs et cinéastes. Ils sont brésiliens, indiens, congolais mais aussi haïtiens, mexicains, européens, japonais, américains. Ils vivent à Paris ou Port-au-Prince, à Tokyo ou dans les faubourgs de Mexico City, en Amazonie ou dans les campagnes non loin de Mumbai. Ils se sont découverts artistes et ont appris à voir dans des circonstances et des contextes singuliers ; souvent considérés comme « naïfs » ils ont rarement été invités à présenter leurs œuvres dans des institutions dédiées à l’art contemporain.


Regarder autrement
Histoires de voir est née de la curiosité d’aller voir et de comprendre en quoi consiste l’art dit « naïf », « autodidacte » ou « primitif », de partir à la rencontre d’artistes empruntant d’autres chemins que ceux imposés par les codes visuels dominants, de revisiter les relations entre art contemporain et art populaire, entre art et artisanat.
L’exposition répond au désir de libérer le regard et de regarder autrement, de donner la parole à des artistes et des communautés d’artistes qui portent sur le monde un regard émerveillé. Elle fait connaître des femmes et des hommes pour qui l’art est « en lien étroit avec l’hypersensibilité du cœur » et dont les œuvres sont « un document de vie », selon les mots d’Alessandro Mendini, designer et architecte italien qui scénographie l’exposition.

Crédit photo © João Liberato / Véio, Sans titre, 2008. © Véio.

Voix d’artistes
Riche de plus de 400 oeuvres, accompagnée de films et de textes qui donnent à entendre et à lire la parole des artistes, à comprendre les contextes dans lesquels leur art apparaît, l’exposition révèle un vaste réseau de correspondances, de complicités secrètes entre des œuvres issues de géographies, de cultures et de savoirs différents.

Malgré la diversité des styles, de nombreux éléments relient les œuvres entre elles : l’exubérance des couleurs, la distorsion des échelles et des perspectives, la stylisation des formes mais aussi la représentation de la nature, des animaux et des visages, la place du rêve et de l’imaginaire. Histoires de voir célèbre l’existence de pensées autres, la recherche de formes nouvelles, suggérant qu’une multiplicité d’arts contemporains est possible. L’exposition affirme la puissance créatrice d’artistes pour lesquels peindre, modeler, filmer, dessiner, coudre, sculpter est à la fois une recherche de la connaissance et une expérience du monde. Lire aussi ici

Arts plastiques...

Le 19 avril dernier, je confiais un article aux lecteurs de mon blog à propos des arts plastiques à l'école. (A lire ici)
A l’invitation de Joe Chaploteau, je vais à la librairie Chantelivre (15 place du Martroi à Orléans), visiter l'exposition « C'est nous les plus drôles » où le jury a sélectionné, justement, le travail des CP et CE1 de l'école élémentaire de Boiscommun parmi les 20 gagnants sur les 60 participants.

Cette démarche s’inscrit dans la logique des points de vue que j’ai déjà longuement développés dans ce blog au cours des dernières années sur ma conviction que l’école est aussi, je l’ai souvent écrit, le principal espace d’acculturation de tous nos jeunes concitoyens. C’est la raison pour laquelle aucune vraie politique culturelle n’est pertinente si elle ne s’appuie pas sur cette chance pour la culture qu’est l’école.






Crédit photos © Baudouin N'G - Arts plastiques à l'école, Mai 2012

Ma « Nuit des musées... »

Demain, samedi 19 mai, les Français et certains européens auront de nouveau le droit de pousser la porte des musées et autres lieux patrimoniaux pour découvrir des endroits qui sortent vraiment de l'ordinaire. En effet, pour la 8e édition de la Nuit Européenne des Musées, ce sont près de 1300 lieux en France et plus de 3700 dans toute l'Europe, qui ouvrent gratuitement leurs portes au public pour offrir un regard nouveau sur les collections des musées.

Cette année, j'aurai le choix entre la campagne et Paris. Le choix est plus vaste à Paris et en Île-de-France où 150 musées et centres culturels étrangers participeront à la manifestation, généralement entre 19h et minuit.
Un ami me propose de découvrir Meudon en Île-de-France où deux joyaux de la commune s'ouvrent jusqu'à minuit. La maison-atelier de Rodin, dite « villa des Brillants », et le Musée d'art et d'histoire, dont les murs ont abrité l'actrice et épouse de Molière, Armande Béjart.

La première demeure, de style Louis XIII, en briques et pierres, fut celle du sculpteur de fin 1893 à sa mort. Sa tombe et celle de sa compagne, Rose Beuret, se trouvent dans le jardin, au pied du Penseur. L'endroit sera illuminé. On appréciera donc autrement les études successives pour Le Baiser, La Porte de l'Enfer, Les Bourgeois de Calais, Balzac, Hugo, Puvis de Chavanne ou encore Whistler qui ornent les lieux.

Crédit photo DR / Le Penseur, sur la tombe de Rodin, au musée Rodin Meudon

La seconde demeure dévoilera ses nouveaux charmes après des travaux de modernisation. Les collections ont été redéployées et enrichies. Elles comptent peu de souvenirs d'Armande Béjart mais de beaux paysages datant du XVIIIe au XXe siècle, ainsi que des œuvres peintes et sculptées de la seconde moitié du XXe. Labellisé « Musée de Franc », le MAH (Musée d'Art et d'Histoire de Meudon) s'est récemment vu prêter des œuvres de plusieurs grandes institutions (Orsay, le Centre Pompidou, le Fonds national d'art contemporain, etc..) ou appartenant à des privés. L'ensemble va de Sisley à Bissière en passant par Courbet, Sérusier, Poliakoff, Marquet ou encore Stahly, Arp et César. À visiter en musique. Lire aussi ici

Sans trop hésiter, je sais d'ores et déjà où j'irai poser mon regard curieux et contemplatif...


Crédit photo DR / Vue de l'intérieur du musée Rodin Meudon

mercredi 16 mai 2012

Poissons...

« Les hommes et les poissons ont ceci en commun que les grands hommes comme les grands poissons, ont tous disparu. » [ Gao Xingjian - Extrait du La montagne de l'âme]





Crédit photos via BibliOdyssey - Poissons de mer de Chine et du Japon
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